ROGER LA HONTE, 1958
Drame de Jules Mary (1886)


De gauche à droite : Firmin Blavier, Joseph Sibille, Albert Mathieu, Christiane Laffineur, Edgard Polomé, Eugène Revers, Sylviane Graux, René Blavier, M. Thomas (régie), Arlette Picot, Léon Flandre (grimes), Yvette Picot, Roland Collin et Raymond Laffineur.

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Photos : Christiane Laffineur.

 
  DISTRIBUTION (24 personnages - 19 acteurs)
  Roger Laroque
Lucien de Noirville
Tristut
Pivolot
Luversan
Raymond de Noirville
Le président des Assises
Bernardit
Poincinet
Commissaire de police
Ricordot
Avocat général
Lenoir, huissier
Carpentier
Docteur Moreau
Concierge
Un gendarme
Le petit Raymond de Noirville
Mme de Noirville
Mme Laroque
Mlle Suzanne Laroque
Victoire
Mme Bernardit
La petite Suzanne
Camille Hubert
Raymond Laffineur
Paul Flandre
Roland Collin
Firmin Blavier
René Blavier
Eugène Revers
Joseph Sibille
Maurice Devolder
Eugène Revers (2)
Joseph Sibille (2)
René Blavier (2)
Raymond Blavier
Marcel Blavier
Eugène Revers (3)
Albert Mathieu
Daniel Revers
Jean-Claude Collin
Sylviane Graux
Claudine Devolder
Arlette Picot
Yvette Picot
Arlette Picot (2)
Christiane Laffineur
  Régie de M. A. Thomas — Grimes de M. L. Flandre
Costumes de la Maison Doutrepont à Liège
 
RÉSUMÉ. — Dans les années 1880, l’industriel Roger Laroque se voit menacé dans sa fortune par un créancier impatient. Celui-ci est assassiné et les preuves s’accumulent contre Laroque : sa femme et sa fille ont cru le voir entrer chez la victime le soir du crime ; il est retrouvé le lendemain avec une grosse somme correspondant au montant de la créance... Arrêté et jugé, il refuse de dévoiler son alibi pour ne pas révéler sa liaison avec Mme Noirville - avec qui il rompait précisément ce soir-là, et qui est la femme de son ami Noirville accouru pour être son avocat. On n’arrive pas davantage à faire parler sa petite fille, qui n’ose dire ce qu’elle sait ; et l’on apprend au beau milieu de l’audience la mort de Mme Laroque, consumée par le chagrin. Au moment où Noirville va plaider, le véritable assassin (qui a joué de sa ressemblance avec Laroque, et de la complicité de Mme Noirville) lui fait passer un mot disant les raisons du silence de l’accusé... Noirville s’apprête à utiliser cet élément en faveur de Laroque, mais il est terrassé par une attaque, et Roger-la-Honte est condamné à vingt ans de travaux forcés. Bientôt il s’évade tout en ruminant sa revanche...