N° 31
Juillet 2019
 
FIÊR DÈ NOS PÎSSINTES

à Fraire...

 

Feuille périodique éditée par le groupe  Les sentiers du fer / Les pîssintes du fiêr - asbl - Contact : J. Thomas, rue Saint-Remy, 10 - 5650 Fraire – 071/65.56.22. - yhomasjean@gmail.com


SALLE COMMUNALE DE FRAIRE

SAMEDI 24 AOÛT 2019

Dès 17 heures :

BAL ANNIVERSAIRE DES « 3 B »


 
51 ans plus tard, les revoici !
 
aux côtés des 3 B, les groupes PENNY LANE et SHOOT BE
 
Pendant le bal, expo « La Maison des Jeunes de Fraire, il y a 50 ans »
Vos anecdotes et vos souvenirs seront les bienvenus.
 
ENTRÉE GRATUITE


QUELQUES FAITS DE GUERRE À FRAIRE, par Bernard Bauthière
14 MAI 1940. 33 Stukas allemands attaquent en piqué la colonne française du 33e RANA de passage à Fraire. Une bombe explose près du monument aux morts, une autre la petite Chapelle, chez Arthur Flandre. Les avions mitraillent les soldats français qui s’échappent vers Morialmé par la voie de chemin de fer, afin de s’abriter dans les sous-bois des Minières, près de l’ancienne verrerie. Leur colonel établit son QG chez N. Heusghem, le garde forestier.

Trois formations aériennes allemandes reviennent bientôt et mitraillent les Français et leur important matériel, alors 21 civils, des réfugiés de Saint-Aubin et la famille Heusghem, se terrent dans la cave. Les pertes françaises sont sévères : 4 soldats tués, 16 autres blessés, 54 chevaux tués, 56 autres blessés et inutilisables, 6 camions détruits. Le corps de l’un des soldats tués, Hamou Beckouche, a été retrouvé par les Heusghem après le départ des Français. Il est enterré à Saint-Aubin, mais a sa stèle commémorative dans le bois des Minières (photo). Les heures passent. Jean, le fils Heusghem, 15 ans, s’aventure hors de la cave . Voici ce qu’il raconte : « Les soldats ont disparu... A ma grande surprise, je découvre du matériel
             Obusier
militaire abandonné : des camions, des conserves, armes, munitions par dizaines de caisses, un obusier (photo) des rations d’avoine pour les chevaux, des disques en cire avec un gramophone, du café, du thé, des bobines de cable, de l’alcool, du vin, tout cela abandonné dans la panique des combats! » Il va sans dire que, la nuit suivante, les habitants de la Maroquette, avec des brouettes, sont venus tout faire disparaître. Je les imagine bien dans le film « Où est passée la septième compagnie ? »
Après le départ des Français, les Allemands ont récupéré les chevaux les moins blessés et les ont regroupés dans la pâture de mon grand-père Octave Tamenne, située en contrebas de l’actuel terrain de football. Mon grand-père m’a raconté qu’ils venaient en side-car avec un vétérinaire allemand pour soigner les chevaux. Vers le mois de juin, ils sont venus reprendre les plus valides. En remerciement, mon grand-père a reçu un cheval pour avoir nourri 15 chevaux. En fait, ceux-ci avaient brouté toute l’herbe des 5 vaches de mon grand-père !
1942. Construction du Champ d’aviation
Des habitants de Fraire furent réquisitionnés chaque matin pour construire les pistes du champ d’aviation de Florennes. Un camion de la Base venait le matin dès 8 heures, et le retour s’effectuait vers 17 heures. (Document ci-dessous).

1942. Un poste d’observation est établi, route de Rouillon.
4 juin 1942. Une nouvelle fois, un câble de téléphone de la FLAAK antiaérienne est coupé à Fraire. Une garde est assurée jour et nuit par les habitants sur 1 km de part et d’autre de Fraire et de Morialmé pendant 10 jours
8 juin 1942. Un autre câble est sectionné. Agacés, les Allemands punissent les Frairois en interdisant pendant 10 jours cinéma et lieux de divertissement.
  Depuis lors, j’ai appris que mon oncle Victor Tamenne, alors âgé de 15 ans, avait été enrôlé dans un groupe de résistants du Chemin de Fer de Walcourt. Il était porteur de dépêches dans cette gare. Il nous confia que c’était lui qui avait coupé les fils du téléphone allemand. C’est encore lui qui avait enterré les rouleaux de câbles derrière une grange et... il comptait s’en servir après la guerre ! Quelle insouciance de la jeunesse, mais aussi quel acte courageux, alors que les risques étaient énormes !

NDLR : Suivant les notes d'Aimée Charlier (publications "Les pîssintes du fièr" En 1940, j'avais sept ans et je me souviens et Mai 1940 - l'Exode), Fraire avait déjà subi deux bombardements avant celui du 14 mai au bois des Minières. Le samedi 11 mai, avant midi, plusieurs bombes sont tombées sur le centre du village, dont une devant le monument aux Morts. Le lundi 13 mai, une bombe est tombée sur le trottoir de la Petite Chapelle.

24 AOÛT 1968 – 24 AOÛT 2019 : QUI ETAIENT LES 3 B ?
Le 24 août prochain, les 3B remonteront sur scène.
Comment est né cet orchestre ?
 
L’orchestre « The 3B » a été créé en été 1968 par des membres de la Maison des Jeunes de Fraire. Les pionniers du groupe étaient Jean-Marie Poucet, à la guitare et au chant, Gaston Robert aux percussions, Bernard Collin à la guitare rythmique, Arthur Matagne à la basse, Jean-Louis Flandre au chant et à l’harmonica, Freddy Scieur au chant, sans oublier le manager, Léon Revers, à qui l’on doit le premier nom de l’orchestre « Bhe Big BaBy Boys ».
Les instruments des débuts étaient plutôt simplistes ! Mis à part J-L Flandre et B. Collin qui disposaient déjà d’un matériel potable, J-M Poucet jouait sur une guitare branchée sur un ampli de 15W, dont le son sortait par un haut-parleur posé sur un appui de fenêtre ! Arthur avait une petite contrebasse amplifiée par un micro fabriqué avec les pièces... d’un ancien écouteur téléphonique ! Gaston tapait avec des baguettes sur un tamtam tunisien introduit dans une vieille chaise, « percée » pour la circonstance, et où des cendriers servaient de cymbales !
 
A partir de 1971, J-M Poucet, le leader du groupe, dont il ne subsiste alors que J-L Flandre, s’adjoindra les services de nouveaux membres tels que Richard Thonet, Philippe Dorpel, Marc Lorent, Roger Delforge, Joseph Calitri, Roger Marinello, Philippe Marin ou encore Evelyne Devos au chant, sans oublier Jean-Marie Evrard. Pendant encore une dizaine d’années, le succès et la réputation des 3B ne se démentiront jamais !

LE COMMERCE DE CHARBON DE MES PARENTS,
PUIS DE MON FRÈRE, FIDÈLE CHARLIER

Aimée Charlier nous a quittés il y a peu. Avec son époux Yvon Fontenelle, elle avait été à la base de notre groupement. Rien d’étonnant à cela, car c’était une personne qui adorait parler de Fraire, de son histoire et de ses habitants. Dans cet article, consacré au commerce de ses parents, se retrouvent ses qualités uniques d’historienne du terroir : une précision méthodique dans la relation des événements jointe à un souci d’originalité, sans oublier un attachement profond à la vie du village.
 
Le commerce familial s’est déroulé de 1930-31 jusqu’en 1983.
Mon père (20 ans en 1918), aîné d’une famille de 6 enfants, dont la maman était décédée, avait été amené par son père à faire le commerce (noir) de beurre pendant la guerre 14-18. Sa famille était ouvrière. Mon père a sans doute pris goût au commerce, il ne désirait plus aller à l’usine, car il aimait surtout être libre dans son travail. Après son mariage, en 1922, il a continué un moment à travailler à l’usine tout en faisant un petit commerce. Il pensait à ce moment au négoce des œufs. Depuis 1918, il avait des contacts avec des fermiers de la région de Philippeville (Samart, Sautour, etc.). Il a donc acheté une camionnette et s’est lancé dans le commerce des œufs. Ma maman aidait, elle conduisait le véhicule.
Sans doute n’étaient-ils pas satisfaits avec cela, car ils se sont lancés dans le commerce du charbon, avec peu d’argent. Ils ont acheté un camion. Ma grand-mère possédait quelques terrains, dont un situé en face de la maison de mes parents, ce qui était un avantage. Mon père a aménagé ce terrain en un assez vaste chantier pour stocker le charbon. Il y avait à Fraire un monsieur plus âgé qui vendait du charbon, mais ce concurrent disposait de peu de place sur sa devanture pour faire ses provisions. Apparemment, le commerce de mes parents fonctionnait bien, sans toutefois être florissant.
Mes parents ont étendu leur clientèle aux villages voisins. En ce temps-là, les clients achetaient le charbon en vrac, par 2.000, 1.000 ou 500 Kg. On utilisait assez bien ce qu’on appelait "du gros charbon" ou "tout venant". Les poêles continus devaient être rares. Les villageois possédaient un "poêle crapaud", qui délivrait une très bonne chaleur, mais demandait un peu d’entretien. Ce poêle comportait un pied et une "buse"
  qui se reliait à la cheminée. Le pied était surmonté d’un gros pot en grès, fabriqué dans une usine voisine. La buse était en tôle, on la frottait avec un produit noir pour la rendre luisante et plus jolie. Tout évoluant, on voyait de plus en plus de poêles bien décorés, céramiques... Une façon économique de se chauffer était de brûler de la "terroule", un mélange de poussier, d’argile et d’eau. On trouvait facilement de l’argile dans le sol de Fraire, où il y avait quelques exploitations. La terroule (terre-houille) donnait une bonne chaleur. On la livrait, au moins par 500 Kg, car il fallait l’entreposer, et ce mélange était assez humide. Le spécialiste de la fabrication de la terroule était incontestablement mon père. Il avait acheté un mélangeur avec un moteur électrique, pour ne plus faire le mélange avec les bras.
Le commerce marchait bien. Lorsque mon frère a eu 16 ans, il a fait le choix de travailler avec eux. Mon père avait allongé son chantier et construit, lui-même, 2 garages, dont un petit, au début. Je ne résiste pas au plaisir de vous raconter que ce garage a été construit avec des déchets de verre venant de la verrerie, incorporés dans les blocs de béton fabriqués par mon père. Le deuxième garage avait été construit à la fin des années 30, au moyen de dalles en béton. Mon père, adepte du béton, a aussi clôturé son chantier avec des murs en dalles. En été, il profitait du ralentissement du commerce pour construire des dalles, et moi j’arrosais le mélange.
En 1938, ils avaient acheté un nouveau camion, un beau Chevrolet, que mon frère, 16 ans, aimait conduire. En 1939, suite à l’entrée en guerre de la France et de l’Angleterre contre l’Allemagne, l’armée belge l’a réquisitionné et mon frère a dû conduire son camion à Namur, à sa grande tristesse. (Le camion a été payé par l’armée en 1946 ou 1947. Alors, ils ont racheté un vieux camion.)

Tout allait bien, lorsque survint la guerre en 1940. Dès l’occupation du pays par les Allemands, le commerce a été réglementé. Les gens recevaient des tickets de rationnement pour tous les produits de consommation : alimentation, charbon, essence... qu’ils devaient remettre aux commerçants pour recevoir leurs rations. Celles-ci étaient bien insuffisantes, certaines personnes étaient vraiment dans le besoin, elles ne mangeaient pas à leur faim, elles ne pouvaient pas se chauffer suffisamment. Encore qu’à la campagne on se débrouillait mieux qu’en ville. Les fermiers fournissaient encore un peu de beurre, de froment, en quantités assez limitées. Les villageois pratiquaient le glanage et moulaient le grain pour faire de la farine, le marché noir sévissait. C’était pareil pour le charbon.
Le chantier était souvent vide car lorsqu’un wagon était annoncé en gare, c’était la ruée, en une journée il était à nouveau vide. Voici comment on s’organisait : maman s’installait à une table dans la maison, les gens venaient a elle pour déposer leurs tickets et payer, maman écrivait sur un bout de papier la quantité à laquelle ils avaient droit. Avec ce papier, les gens se rendaient sur le chantier où 2 ou 3 ouvriers attendaient pour les servir. La ration était pesée sur une bascule. Certains venaient avec un chariot tiré par un cheval, mais, en général, les clients se présentaient avec une brouette sur laquelle ils pouvaient emporter 2 ou 3 sacs. Si l’un d’eux avait droit à 4 sacs, il devait en laisser un sur le chantier en attendant son retour pour le prendre... alors mon père devait faire la police pour éviter que le sac ne soit emporté par des gens peu délicats !
En 1941, mon père a été amené à équiper le camion d’un gazogène, vu la pénurie d’essence. Selon une lettre écrite par maman à des cousins, le gazogène aurait coûté 20.000 F. Vu le ralentissement du commerce de charbon et la réduction du nombre de véhicules de transport, mon frère s’est reconverti en déménageur, transporteur... et cela fonctionnait plutôt bien. Après la fin de la guerre, il a fallu attendre 1946-1947 pour voir le commerce du charbon se normaliser. Le mode de livraison avait changé, le charbon était généralement livré en sacs, plutôt qu’en vrac. En hiver, la mise en sac était un travail plutôt dur pour mon frère.
Pendant une bonne vingtaine d’années, le commerce a été bénéfique pour mes parents qui croyaient les années difficiles derrière eux.
  C’était compter sans les aléas de la vie. Début des années 60, des géomètres sont venus mesurer autour de leur maison et du chantier à charbon pour construire une route. Tout d’abord, on nous a dit que ce projet ne serait pas retenu, mais il a fallu se résoudre. Ma maison natale a été démolie, le chantier à charbon a aussi été exproprié... Pour mon père, à plus de 60 ans, il fallait recommencer à construire.

Une vingtaine d’années plus tôt, mon père avait acheté un grand terrain au lieu-dit "Les Trys". Comme mon frère désirait continuer le commerce, mon père a fait préparer ce terrain pour y transférer l’ancien chantier. Mon frère a été obligé de vendre aussi du mazout, dont l’usage se généralisait. Il a vendu du charbon et du mazout jusqu’en 1983.



Le 11 novembre dernier, Aimée et Yvon avaient été fêtés, en hommage à leur dévouement pour les Sentiers du Fer.

INCROYABLE MAIS VRAI : LE DESTIN POSTHUME DE CALIXTE TAMENNE
(D’après les archives de l’Armée belge)
  
Né à Fraire le 26 mai 1888, Calixte était le fils de Calixte Tamenne, marchand de bestiaux, et de Berthe Mahy. Leur maison, qui deviendra un hôtel-café-restaurant (et aussi... une porcherie !) après la guerre, est aujourd’hui habitée par Mme Vve René Fauquet, rue de France. Comme nous l’apprend sa fiche militaire, Calixte était soldat au 22e de ligne. Il est décédé au début de la guerre le 18 août 1914, à Hauthem-Sainte-Marguerite, près de Tirlemont (Tienen).

    Après la guerre, en août 1919, sa famille vient réclamer le corps. Outrés de se voir réclamer une très lourde taxe d’exhumation, les Tamenne décident de subtiliser le corps pendant la nuit et Calixte Tamenne, après des funérailles solennelles, est enfin, du moins on le pense, inhumé
  au cimetière communal de Fraire. Nous sommes alors le 23 août. Les années passent...
La vie reprend ses droits. Il est à noter que le nom de Calixte Tamenne figure en premier lieu sur le monument qui avait été inauguré en septembre 1921.
     Comme nous l’apprend sa fiche militaire, Lucien Deruyck, un habitant de Comines, est décédé le même jour et au même endroit que Calixte Tamenne. Ce n’est que le 29 juillet 1922 que sa famille retrouve enfin sa tombe, car, suite à une erreur administrative, il avait été enterré sous le nom de Delporte. Mais les Deruyck ne sont pas au bout de leurs peines : en ouvrant la tombe, ils constatent qu’elle était vide ! En fait, la famille Tamenne s’était trompée lors de son transfert nocturne : ce n’est pas Calixte qui a été inhumé dans le cimetière communal de Fraire, mais bien Lucien Deruyck ! Il a fallu près de trois ans pour que l’on se rende compte de l’énorme bévue ! Le 23 octobre 1922, la famille Tamenne ayant « déboursé le montant des frais occasionnés pour l’enlèvement clandestin et erroné du Soldat Deruyck », le Secteur de Malines demande l’autorisation pour restitution d’exhumer le Frairois. Le 27 janvier 1923, sa famille pourra récupérer le corps et évitera de payer davantage de frais grâce à l’intervention de M. Sibille, un militaire de carrière, beau-frère de Calixte.

EXPOSITION DU 11 NOVEMBRE 2018 : ZOOM SUR LE PETIT PATRIMOINE
Appareil photographique et carnet en mains, nos membres ont sillonné les rues de Fraire afin de répertorier des éléments du petit patrimoine. La moisson fut abondante, et il a fallu faire un tri dans nos trouvailles, qu’Anne Franchimont, de « Qualité Village Wallonie », a mises en page pour offrir une belle exposition qui s’est déroulée le 11 novembre dernier. Voici quelques exemples de notre petit patrimoine, dont nous ignorons souvent les richesses, mais aussi la présence, alors qu’ils se trouvent sous nos yeux !

À NOTER DANS VOTRE AGENDA
  Lors des retrouvailles avec les 3B, le 24 août prochain, nous serions heureux que des personnes ayant bien connu les bals des années 60-70 nous communiquent des anecdotes relatives à cette époque : morceaux de musique favoris, ambiance dans la salle, petits flirts, voire coup de foudre... qui dure peut-être encore ! Jean-Marie Evrard, notre Drucker de service, se fera un plaisir de vous tendre le micro.
Notre prochaine activité avec Qualité Village Wallonie coïncidera, en 2020, avec la commémoration du 80e anniversaire du début de la seconde guerre mondiale et aussi...du 75e anniversaire de la Libération. A cette occasion, nous serions heureux d’entendre les témoignages de personnes ayant des souvenirs particuliers de la seconde guerre mondiale, qu’il s’agisse de l’Exode ou de la vie quotidienne sous l’Occupation.

GRILLE FRAIROISE

Horizontalement
1. Nom romain de Fraire
2. Choquantes - Mieux wallon
3. Se trouve à la Machine -
    Console de jeu
4. Aide - Ne pas sentir bon
5. Dans un village voisin
6. Le réseau des sentiers ne l’est
    plus grâce aux SdF
7. Fait partie de la Norvège -
    Posa
8. Epoques - Marque de pluriel
9. A la rue d’Andenne, est
    nécessaire à cause du ruisseau
Verticalement
1. Fleuron des SdF
2. Amateur de lentilles - Direction
3. Manger ou réparer
4. Trouve – Initiales royales
5. Femelle du lièvre - Beau wallon
6. Ville de la bière
7. Non sanctionnés
8. Riche - Doublé, c’est une prison
9. Poivre d’âne.
 
Pour pouvoir faire le mots croisés, imprimez la grille :
Cliquez droit sur la grille et sélectionnez "Imprimer l'image..." ou un message équivalent.


L’HARMONIE DES JEUNES DE FRAIRE
  Issue de l’H.R.U. de Fraire, l’Harmonie des Jeunes regroupe tous les élèves de l’école de musique locale et les jeunes désireux d’apprendre à jouer d’un instrument à vent ou de percussion et surtout de vouloir s’investir dans un ensemble. La première répétition a eu lieu le 3 octobre 2015. Le groupe, dirigé par Georges Albrecq, a déjà 12 concerts et... 150 répétitions à son actif ! Le prochain RDV sera, soit au festival "Fend ‘rire" de Walcourt, le premier w-e d’octobre, soit au Raclos de Fraire, le troisième dimanche d’octobre.

CHEZ LES JEUNES DU CERCLE THÉÂTRAL
  Les jeunes acteurs de Fraire ont présenté dernièrement un spectacle au profit des Sentiers du Fer. La première partie, intitulée « Si Fraire m’était conté(e) » a fait revivre les grands personnages qui ont vécu à Fraire, comme les sorcières, les châtelains, les mineurs de fer ou encore Marie Goderniat, sans oublier Jules César et ses soldats, à qui nous devons le nom du village. En seconde partie, nos as du wallon ont présenté « Ele Poûde à Tchènu », une comédie désopilante.
    Prochain rendez-vous le 22 novembre.

Éditeur responsable : Jean THOMAS.
 

Objectifs de notre ASBL : Sauvegarde de la mémoire et du patrimoine de Fraire-Fairoul, valorisation du cadre de vie des Frairois. Site Internet (Arthur Matagne) : http://users.skynet.be/fraire/sentifer/.