N° 19
Juin 2011
 
FIÊR DÈ NOS PÎSSINTES

à Fraire...

 

Feuille périodique éditée par le groupe  Les sentiers du fer / Les pîssintes du fiêr - asbl - Contact : Y. Fontenelle, rue Sarazin, 34 - 5650 Fraire – 071/65.53.23 – y.fontenelle@skynet.be


10 ANS DES PÎSSINTES DU FIÊR = 10 ANS D'ENGAGEMENT BÉNÉVOLE AU SERVICE DE NOTRE VILLAGE
Depuis 10 ans, notre association joue un rôle essentiel pour la sauvegarde du patrimoine du village et la valorisation de son cadre de vie.
Les projets développés sont variés et visent notre patrimoine dans son ensemble : préservation de notre patrimoine bâti, sauvegarde de la mémoire collective et de nos traditions.
Parmi nos nombreuses actions villageoises, rappelons :
La mise en valeur de notre passé minier par des itinéraires de promenades, des rallyes pédestres dans les croix d'occis, la restauration d'une tombe en fonte... Nous avons fait revivre nos cafés, boutiques, vîs méstîs et « l'cafè al goute ». Nos fresques murales et nos fleurs rendent le village plus agréable, plus accueillant. Enfin, le réaménagement de notre fontaine clôture une décennie bien remplie, au service de notre village.
Y.F.
 
Préparation des jardinières
de g. à dr. : Pol De Witte, Eric Froment, Marie-Ange et Bernard Bauthière. Merci à Eric et à Marie-Ange pour leur participation. - Photo de Valentin Rinaldi / Mai 2011.

NOUS VOUS DONNONS RENDEZ-VOUS LES 10 ET 11 SEPTEMBRE
PROCHAINS POUR FETER LES 10 ANS DES PISSINTES...

Au programme du samedi :
- 17 h. : Fraire et sa fontaine à travers les âges. Interprétation de saynètes par des enfants
- 20 h. : A la salle : Animations musicales.
 
Le dimanche à partir de 11 h 30 : 1re Balade gourmande des Pîssintes.
Rallye pédestre d'environ 5 km, par la chapelle St-Ghislain et La Maroquette, à la découverte du passé du village et de ses traditions, doté de prix - avec repas Place Maroquette et à La Machine. Possibilité de dîner à la salle sans participer au rallye ou de participer au rallye sans prendre le repas. Le programme détaillé vous sera présenté dans notre prochain Fiêr dè nos Pîssintes.


Notre nouvelle publication : « Mai 1940 - L'exode » par Aimée Charlier, sera disponible avec plus de 20 témoignages de Frairois qui ne sont pas près d'oublier ces terribles journées.


 
SUITE DES TRAVAUX DE LA FONTAINE

Depuis fin 2007, nos efforts sont centralisés sur la fontaine avec les résultats que vous connaissez. Néanmoins, nous ne sommes pas encore au bout de nos peines. Le raccordement électrique prévu par la commune est attendu en juin. Grâce à nos généreux donateurs, que nous remercions infiniment, nos travaux vont pouvoir reprendre avec l'installation du coffret électrique, de la pompe et des circuits d'eau. Si tout se passe bien, notre "fontaine sans eau" pourrait devenir une "fontaine" cet été. Pour la mettre en valeur et égayer la place le soir, il nous restera à la doter d'un éclairage, plus tard, quand nous le pourrons.
 
Si vous désirez soutenir ce projet par un versement à notre Compte de Projet à la Fondation Roi Baudouin, nous vous recommandons de le faire rapidement. Sauf nouvelle prolongation accordée par la Fondation, notre convention sera clôturée fin juin. Nous vous remercions à l'avance.
Pour rappel : Compte N° 000-0000004-04 de la Fondation Roi Baudouin, Rue Bréderode, 21 - 1000 Bruxelles - avec la communication requise : « L82187 - Les sentiers du fer asbl ». Vous recevrez une attestation fiscale à partir de 40 €.

 
Souvenirs d'école - Souvenirs d'école - Souvenirs d'école - Souvenirs d'école - Souvenirs d'école
SACRÉ BRAQUE ! - Texte de Jean Thomas

Lorsqu'il était élève à l'école communale, Christian Baudinne était un élément brillant, mais fort impulsif et parfois dissipé. Un jour où il s'était parti­culiè­rement fait remarquer, mon père, excédé, lui avait lancé un « Sacrè braque ! » qui avait l'air de tout sauf d'un compliment. Ignorant le sens de cette expression, Christian, de retour chez lui, se met en   devoir d'en demander la signification à son père. Sans doute le brave homme avait-il dû subir, le même jour, les frasques de son rejeton. Aussi, à court d'explications, s'est-il contenté de lui dire : « Un braque ?... Un braque ?... Eh bien, c'est un pareil à toi ! ».

NDLR. - Si vous aussi vous avez en mémoire des anecdotes relatives à votre parcours scolaire durant vos études primaires à Fraire, n'hésitez pas à nous en faire le récit. Nous nous ferons un plaisir de les publier.
 


 
GRILLE FRAIROISE, par Jean Thomas

HORIZONTALEMENT.
  1. QUARTIER DE FRAIRE.
  2. FLEUR BRUXELLOISE - NAZI - ANCIEN.
  3. BATEAUX - INTERJECTION.
  4. MIS A NIVEAU.
  5. FINALE D'INFINITIF - FINALE VERBALE -
      AMBULANCE.
  6. FRUIT - ROI DANS LE DESORDRE.
  7. TOUCHE - RENIFLEE.
  8. ASSAISONNASSE.
  9. MONTE OU DESCEND - FORT.

VERTICALEMENT.
  1. ELLES ONT FAIT LA RICHESSE DE FRAIRE.
  2. PERROQUET - EUS FAMILIEREMENT DU MAL.
  3. FIXA - MILLE-PATTES.
  4. DIEU EGYPTIEN - SALUT PHONETIQUE ROMAIN.
  5. NETTOIE
  6. UTILISES - VENUS AU MONDE.
  7. CROCHETS - SANS BAVURES.
  8. CONNAÎT.
  9. PEUT ÊTRE SUIVI DE SHIRT - LA PEAU
      DES MINEURS L'ETAIT.
10. EMPÊCHE LA MINE D'ÊTRE SOUS EAU.
 
 
Solutions plus bas.

(Pour imprimer cette grille, sélectionnez depuis "GRILLE FRAIROISE" à "Solutions plus bas" en tirant la souris en diagonale, puis CTRL P pour imprimer, en spécifiant "sélection" et "paysage", OK, IMPRIMER.)
 
UN DENTISTE À FRAIRE EN 1880, texte d'Achille Trotin

A Fraire, vers 1880, les habitants avaient recours à un médecin de Morialmé ou d'Yves-Gomezée, mais aussi à un dentiste de passage. C'était Madame Hennaut. Elle passait avec une voiture rutilante tirée par deux chevaux. La voiture décorée était ornée de clochettes. Leur tintement annonçait son arrivée, ainsi que ses trois musiciens coiffés d'un haut de forme. Depuis La Maroquette, on l'entendait descendre de La Botte. Les musiciens se mettaient à jouer à l'approche du village et contribuaient ainsi à l'annonce de l'arrivée sur la place du village,   la Place du Preyat. Autre attraction, rare à l'époque, elle exhibait un singe. Joséphine Charlier racontait que les enfants de La Maroquette descendaient alors en courant vers la place, au cœur du village. Madame Hennaut faisait son boniment, proposait ses services et promettait la gratuité au premier volontaire. Les musiciens redoublaient d'ardeur à chaque arrachage afin de couvrir les éventuels cris de douleur. C'était un spectacle, une véritable attraction qui rompait la monotonie de la vie quotidienne et qui avait marqué les esprits.

Sources : Tradition orale transmise par Joséphine Charlier (1870-1972) épouse d'Achille Trotin et par Marie Preyat (1878-1962) épouse d'Aimé Bruyr. Un article du Courrier de l'Entre-Sambre-etMeuse du 27-7-1979, dans la chronique de Laneffe, signé L2, précise le nombre de musiciens.

 
MAROQUINETT'ES ET TAHITIQUETT'ES, par Raoul Désirant

Se chante sur l'air "Dins les ruelles"

 
Le troisième week-end du mois d'août
Dans le hameau de la Maroquette
La fièvre montait tout à coup
Dans les rues et les maisonnettes
Car c'est la fête et la ducasse
On va rigoler sur la place
Tous ensemble, plus rien ne tracasse
        La Maroquette.

Le samedi, chapelle Sainte-Barbe
On offre le café, et ça barde
Déjà quelques participants
Font des petits pas brinqu'ballants
On les voit sourires liquotants
Pour entrer sans faire trop d'boucan
Prendre place parmi les r'gardants
        Dans la guinguètte.

Mè l'dimègne dins l'après din'ner
Les om'es dècid'neut d's'amuser
Di s'abiîs comm'e les coumér'es
Tchapias bastons i z'ont bèl'air
Pou danser i n'font pon d'chichi
Les d'jins rie'neut mè qué pléjî
Amiss'es vos vènez d'rinscontrer
        L'Maroquinètt'e

Vos plèz les chûr'e tout'in dansant
I s'bidon'neut rie'neut t'chantant
Pon d'grossiér'tè didins les rangs
Gèrard mèn'e èl meut'e bon n'èfant
Ç’qui fé qui les Maroquinètt'es
Vont div'nuts des Tahitiquètt'es
Pou fièster mêm'e sans les trompètt'es
        El Maroquètte
 

Ph.1 (Maroquinett'es) - de g. à dr., 1er rang : ?, G. Paquet, E. Revers, ? ? - 2e rang : A. Deltour, F. Deflorennes, ? ?? - 3e rang : Durant, R. Désirant, L. Collin, G. Grandelet, F. Huon, M. Blavier, V. Tamenne, ? ?, S. Van Lierde, ?
 
Ph.2 (Maroquinett'es) - de g. à dr. : G. Deflorennes, Y. Collinet, G. Grandelet
 
Ph.3 (Tahitiquett'es) - à g. : G. Paquet, suivi de D. Heusghem - à l'avant-plan : J. Noël, Les autres ? ??

 
Pour notre rallye du 11 septembre après-midi, nous recherchons une (ou des... ) Maroquinètt'es en habit d'époque. Si vous êtes intéressé, merci de nous contacter.
 


 
VAN HOECKE : Il l'a fait! - Interview par Jean Thomas

Lors d'une édition précédente, nous avions relaté l'exploit de Justin Van Hoecke, qui avait failli battre le record de Belgique de contre-la-montre sur piste.
Cette fois, c'est chose faite ! Notre « Frairot » est parvenu à effacer, en un temps de 1 :04.509, les 1 :04.91 réalisés par Tom Steels le 30 juin 1992 à Zurich.
Le cycliste de Fraire (21 ans) de l'équipe Wallonie-Bruxelles-Crédit Agricole, a réalisé cette performance lors de la 3e manche de la Coupe du monde à Pekin. « C'était motivant d'essayer de battre le record de Tom Steels, un grand sprinter aussi bien sur la route que sur la piste. Je suis content de battre ce record qui datait d'il y a 19 ans ».

Méconnu, le kilomètre est une discipline physique et éprouvante comme l'explique le jeune cycliste de Fraire : « Le kilomètre c'est la plus dure des courses individuelles. C'est un sprint d'un kilomètre. Cela n'a l'air de rien mais je défie n'importe qui de faire cela à bloc. C'est impressionnant et cela fait mal ».
Tout auréolé de ce record, Justin s'est lancé dans les épreuves à étapes. C'est ainsi qu'il a terminé le Tour de Belgique, celui de Hollande, appelé Olympia Tour, et qu'il a participé au Tour de l'Oise. Last but not least, notre Frairot a été repris dans l'équipe olympique de piste et, au moment où la fête de Saint-Ghislain battra son plein, il participera au championnat d'Europe sur piste au Portugal, dans la catégorie « Omnium ». Toutes nos félicitations !
 

SOLUTION DE LA GRILLE

      
 
Le 26 juillet 1902, de violents orages, accompagnés de grêle dévastatrice, frappent les provinces de Namur, Liège, Luxembourg. Une tornade cause des dégâts dans la région de Fraire, près de Walcourt.
 
Fait signalé par P. De Witte.


 
LES PISSINTES A FAIROUL

Ce vendredi 6 mai, la Commune organisait son traditionnel J day, sous la houlette de MM. Chartier et Liessens, chefs d'école de l'entité, et avec le soutien de M. Preyat, échevin, et de Ch. Poulin, bourgmestre.
Le lieu choisi cette année était le sympathique village de Fairoul, dont le cadre verdoyant et le riche passé se prêtaient à merveille à l'étude du milieu tant scientifique qu'historique.
Parmi les 15 activités proposées aux deux bonnes centaines d'élèves présents, 3 étaient animées par les Pissintes.
Pascal Decamp, notre spécialiste de Fairoul, a emmené ses hôtes d'un jour dans un voyage à travers le riche passé du hameau de Fraire. Yvon Fontenelle, Aimée Charlier et Pol De Witte ont présenté une exposition consacrée à l'exploitation du minerai de fer dans la campagne de Fraire-Fairoul.
Jean Thomas avait pris l'identité d'un aviateur canadien qu'une habitante de Fairoul, Maria Dardenne, avait caché entre 1943 et 1944, au nez et à la barbe des occupants allemands et aussi... à l'insu de son père qui habitait la même maison. Nous reviendrons sur le comportement héroïque mais discret de cette dame dans un prochain numéro.
Les Sentiers du Fer s'étaient une fois de plus transformés en sentiers de la Mémoire.
 
Jean Thomas, dans le rôle de l'aviateur canadien
 

Exposition consacrée à l'exploitation du minerai de fer à Fraire et Fairoul, au XIXe siècle
SOUVENIR DE GUERRE

A partir de 1942, l'aviation alliée bombarde l'Allemagne. En 1943, la RAF intensifie ses raids nocturnes et le vrombissement des moteurs de plusieurs centaines d'avions meuble nos soirées. Les nuits de pleine lune, on peut voir les bombardiers volant en rangs serrés. Parfois l'un d'eux est piégé dans les faisceaux des projecteurs, devenant une proie facile pour la chasse de nuit allemande. Ce spectacle, son et lumière, était majestueux et tragique à la fois. Quand, après leur   passage, on entendait le bombardement, on savait que c'était sur Aulnoye ou Stuttgart..., ce que confirmait la BBC le lendemain. Souvent, les avions repassaient en fin de nuit, rentrant à leur base. Plusieurs ont été abattus dans la région, sur le chemin du retour.
Les bombardiers américains opéraient plutôt de jour. Lors de leur passage, la DCA (défense contre avion) de Florennes entrait en action. Il n'était pas rare que des obus retombent dans les environs.      Y. F.

 
NOTRE HIVER 2010-2011, par Evrard-Remy Jeanne

Non, ce n'était pas un scoup
Mais bien la réalité
Comme un cheveu dans la soupe
Il est venu tout perturber
Il ? ? Bien sûr je parle de l'hiver
Et ses désagréments
Son cortège de misères
Et aussi d'accidents
La neige et le gel
Etaient au rendez-vous
On a donc dû sortir ses pelles
Pour dégager le tout
Parfois même le verglas était de la partie
Avec ses ennuis de circulation
On avait vraiment peur de sortir
Sauf si c'était une obligation
Il y a eu aussi ce froid glacial
Qui nous gelait le bout des pieds
Et dans le brouillard matinal
Il fallait très bien se botter
C'était quand même un peu trop tôt
Pour avoir déjà ces mauvais temps-là
Mais puisqu'on l'avait sur le dos
On a dû affronter tout ça
C'était inutile de râler
Cela n'aurait servi à rien
Nous l'avons plutôt supporté
Puisqu'on était dans le pétrin
 
La fontaine et le Yéti !
 
On ne pouvait pas se plaindre pour cela
Il y avait bien plus malheureux que nous
Certains n'avaient même pas de toit
Et il leur manquait un peu de tout
On a donc pris son mal en patience
En attendant les jours plus longs
Cétait vrai cette lumière dont nous étions en manque
Nous fatiguait et nous rendait grognon
On attendait tellement le bon temps
Mais il fallait se dire qu'aujourd'hui comme hier
Si on aspirait tant au printemps
Il fallait d'abord achever l'hiver.

ANECDOTE DE JULES SET-MARIE

En 2008, je suis allée voir Jules. Il se souvient de plusieurs faits survenus à Fraire pendant la guerre 40-45. Son père, Octave Set-Marie, était Français, Breton d'origine. Sa maman, veuve, s'était remariée pendant la guerre 14-18, avec un monsieur de Walcourt, célibataire, réfugié en France. Fin des années 20, Octave est venu travailler à la verrerie de Fraire et y a fait connaissance d'une Frairoise, Nélia Preyat. En 1944, ils habitaient la rue des Minières, et avaient trois fils. Octave Set-Marie (malheureusement décédé d'une péritonite après les faits relatés, à la clinique du DR Mouvet à Saint-Lambert, gérée alors par le DR Moreau - la pénicilline n'était pas encore disponible). Octave, donc,   pour nourrir sa famille, disposait d'un morceau de terrain, derrière la fonderie, où il cultivait des pommes de terre. Il y avait construit une cabane où il stockait du foin, il y avait même creusé un trou qui lui servait de glacière, en été, pour ses boissons. Dans les jours suivant notre libération par les Américains, Octave s'est rendu à son terrain. Lorsqu'il a ouvert la porte de la cabane, il a vu quatre bottes qui dépassaient du foin. Prudent, il a refermé la porte et est rentré chez lui. Il a prévenu les résistants, qui sont allés voir, mais les Allemands n'y étaient plus. Quelques jours plus tard, on a trouvé deux Allemands dans le bois. Etait-ce ceux-là ?
Texte d'Aimée Chartier.

 
ECHANGE MUSICAL INTERNATIONAL

Du 11 au 15 août prochain, « l'Harmonie Royale » de Fraire recevra Le Corpo musicale « Rossini » de Castions di Strada (Frioul - Italie).
Pour la petite histoire, c'est en 2001 que l'harmonie de Fraire s'est rendue en Italie. Elle y fut chaleureusement accueillie ; que de bons moments musicaux et autres sont restés dans la tête des participants. L'année suivante, Fraire recevait à son tour le Corpo Musical de Castions. Un concert fut donné par les deux harmonies dans la cour de la ferme Devoldere. Plus de 400 personnes sont venues écouter ces prestations musicales. Là aussi de merveilleux souvenirs restent gravés dans nos mémoires. En 2009, HRF est retournée à Castions di Strada ; ce furent des retrouvailles pour certains, des découvertes pour d'autres.
Nous sommes en 2011 et c'est à notre tour de recevoir nos amis Italiens. Le 11 août, nous accueillerons 106 personnes, la plupart logeront dans des familles à Fraire et environs, d'autres dans les 2 gîtes de Fraire ou celui d'Hanzinne, d'autres encore dans un hôtel à Charleroi. Plusieurs visites et activités sont prévues durant leur séjour (Walcourt, Durbuy (concert par les 2 harmonies près du kiosque de Durbuy), Bruges.
Festivités à Fraire le VENDREDI 12 août : - 19 h Défilé des deux sociétés au départ de la place de la Maroquette. - 19 h 30-20 h - 1. concert par « La Banda di Castions » - 2. concert par « L'Harmonie de Fraire »
L'Harmonie de Fraire vous y invite cordialement. Ce concert se fera dans la cour de la ferme Devoldere ou, en cas de pluie, à l'église. Entrée gratuite.
Nous remercions l'Administration Communale et le Centre Culturel de Walcourt pour leur collaboration à cet évènement culturel et international.
 
Le « COMITE Italie ».
 

Notre groupe : Léa ADAM (071 655148) - Bernard BAUTHIERE (0475 999788) - Marvin CARPENT - Aimée CHARLIER (071 655323) - Georgy DEBEL (071 655807) - Pascal DECAMP (0495 492345) - Pol DE WITTE (071 655854) - Jean-Jacques DRABBEN (071 650294) - Grégory DUBUISSON - Marc LORENT (0473 981972) Blanche MATAGNE (071 650561) - Fernande MATAGNE (071 333979 - 0473 515214) - Léon REVERS - Jean THOMAS (071 655622) - Achille TROTIN (00 333 27 466352) - Charles SEPULCHRE (071 650388) - François SEPULCHRE (071 650388) - Yvon FONTENELLE (tél./ fax 071 655323).

Nos objectifs : La sauvegarde de la mémoire et du patrimoine, bâti et non bâti, public et privé, de Fraire et Fairoul, en particulier la sauvegarde et la mise en valeur du passé minier et industriel et le transfert de la connaissance du passé du village vers la jeune génération. La valorisation du cadre de vie des Frairois.

Nos partenaires : L’Agence de Développement Local et le Centre Culturel de la Ville de Walcourt - L’asbl Qualité-Village-Wallonie.

Nos publications :
« Fraire sur les traces de son passé minier » par Achille Trotin (septembre 2001)
« En 1940, j’avais 7 ans et je me souviens... » par Aimée Charlier (septembre 2002)
« Les croix d’occis de mineurs à Fraire » Fiche de patrimoine éditée par la Région Wallonne (septembre 2003)
« Promenade à Fairoul » Textes de Pascal Decamp, Jean Barreaux et Aimée Charlier (septembre 2004)
« Répertoire des spots et... Petite chronique de Fraire » par Aimée Charlier (octobre 2004)
« La Poste à Fraire 1882-2004 » par Bernard Bauthière (août 2006)
« Les Frairois dans la tourmente de 14-18 » par Aimée Charlier (avril 2007)
« Mai 1940 - L'exode » par Aimée Charlier (février 2011)

Nos comptes bancaires : N° 732-0105202-08 « Les sentiers du fer - asbl » 34, rue du Sarazin à Fraire, et N° 742-0132442-72 « Réaménagement de la fontaine »
Réaménagement de la Fontaine : N° 000-0000004-04 de la Fondation Roi Baudouin, communication : « L82187-Les sentiers du fer asbl », avec attestation fiscale.

Site Internet (Arthur Matagne) : http://users.skynet.be/fraire/sentifer/sentife.htm

Editeur responsable : Yvon Fontenelle