Vue des maisons Stévenard (en haut à gauche), Nuytiens (fermette juste en dessous), Charlier-Adam et Charlier-Bruyr en 1963 avant qu'elles soient rasées pour pouvoir construire le pont de la Nationale 5 sur la route de Fairoul. Seule la maison à l'extrême droite existe encore (dernièrement Françoise Anciaux †).